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[ peinture écriture ]
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suite roman
21/08/2012 19:36
lui dit vous avait une voie merveilleuse mademoiselle ! Puis enfin la voyant gêné il ce pesante
-jean Marquis de montespant
-Anouchka ronssi.
Le jeune homme la regarda, ébloui par le son de sa voix, par ce regard qui lui prend le cœur.
Je suis ravi mademoiselle, voulez vous me permettre de vous inviter à prendre une café,
Ou autre chose ?
;Mais monsieur le Marquis, je ne sais si je dois accepter.
Allons, je vous en prie, je ne suis qu’un être humain comme vous et mon titre de marquis n’est rien que ce qui vient de mes parents. Moi je suis Jean pour vous, et pour la plupart des gens qui me connaissent. Vous savez ce titre de marquis ne me nourrit pas et il me faut travailler, comme tout le monde. Je suis ingénieur aux Ponts et Chaussées, vous voyez, rien d’extraordinaire !
Tout de même vous êtes marquis ! Et que vont penser les gens de vous voir avec une petite bonne à tout faire, une nounou ?
-Mais Mademoiselle, il n’y a pas de déshonneur à être nounou ou à faire du ménage !
Anouchka devint rose, ses joues
s’empourprèrent, elle accepta car en effet, il n’y avait rien de mal à prendre un café sur la terrasse de ce petit restaurant, et puis elle se sentait bien dans cet endroit avec ses amis musiciens qui jouaient. Alors elle accepta l’invitation du jeune homme. C’est ainsi qu’Anouchka devint la femme aimée et adulée par le jeune marquis. Elle, la petite russe. Qui aurait pensé qu’un jour, elle allait rencontrer un marquis. Les jours passaient. Heureuse, Anouchka continuait son travail avec joie, elle était resplendissante. Le jeune homme raconta à ses parents sa rencontre avec la jeune femme. Il avait un visage si heureux que sa maman, pour la première fois, pensa qu’il allait enfin être comblé. Elle attendait cela depuis qu’il était en âge de fonder une famille, mais jamais il n’avait trouvé une jeune femme qui lui convint. Aussi, elle se réjouit de le savoir enfin amoureux et elle lui demanda de l’inviter à un dîner. Il lui sourit. Oui maman je lui demanderai.
Lorsque sa journée se terminait, la jeune femme rejoignait le jeune homme. Elle n’allait plus sur les marches du Sacré-Cœur.
Ses copains de la nuit avaient compris que leur amie était enfin guérie, ils se réjouissaient de son bonheur et s’effacèrent espérant qu’elle ne souffrirait pas. Mais Anouchka ne pensait qu’à son bonheur, elle n’avait jamais été heureuse avant de rencontrer Jean. Lui l’aimait et ne savait que faire pour lui plaire. Il l’avait aidée à trouver un professeur de chant et l’accompagnait chaque fois qu’il le pouvait. Puis un soir, il lui demanda de l’accompagner chez ses parents pour dîner car il voulait la présenter à sa mère. Anouchka fut dans un premier temps réticent, elle ne pouvait pas accepter de peur de ne pas plaire à ses parents. Qu’allaient-ils pensé d’une jeune femme qui avait quitté son mari et qui n’était même pas divorcée. La chose aurait été différente si elle était veuve,
mais là, elle avait peur d’être confrontée à des questions très embarrassantes. Connaissaient-ils sa situation ? Ne risquait-elle pas d’être mal jugée et repousser par ses parents. Non elle ne pouvait pas, il lui fallait plus de temps, attendre que son mari disparaisse de sa vie. Elle avait en effet appris par sa sœur qu’il allait très mal, atteint d’un cancer du foie et que ses jours étaient comptés, il allait mourir, après elle serait libre. Jean la comprenait mais il lui dit :
- Vous savez mes parents sont très simples, ils ont le titre mais pas la fortune et il y a longtemps qu’il n’y a plus de richesses chez nous ! Ils travaillent tous les deux, maman est infirmière et papa travaille à la banque en tant que simple employé. « Vous voyez, nous sommes comme vous, de simple gens, alors vous n’avez rien à craindre et maman ne veut que mon bonheur, ce que je n’avais jamais trouvé jusqu’à présent. Votre amour m’apporte le bonheur. la prend dans ses bras et
l’embrasse Et c’est cela qui compte pour mes parents, alors dites oui ma chérie, cela ferait
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roman ANOUCHKA et le MARQUIS
21/08/2012 19:29
ANOUCHKA et le MARQUIS
Alors qu’elle n’est qu’une enfant, Anouchka va être marié pour de l’argent, avec un homme beaucoup plus âgé ? qu’elle ne connaît pas. Après plusieurs années passé avec son vieux marié qui la tient prisonnière, elle va fuir enfin d’être libre de vivre comme toutes les femmes de Son âge enfin d’essayé d’être heureuse…la jeune femme n’a jamais quitté sa campagne est elle est affolée par le bruit des voiture, mais elle est libre enfin!
Elle à eu le courage de fuir sa prison parent des réfugier russe, lui on imposé le mariage avec un homme riche et vieux.
Un homme qu’elle ne connaissait pas.
Elle n’avait pas eu le choix, le mariage ou le couvent. Malgré sus pleurs et ses supplications la jeune fille du accepter l’homme que ses parent lui imposaient.
Elle ne voulait pas retourné au couvent et préférait le mariage à cette prison chez les bonnes sœurs!
Elle pensait qu’en ce mariant elle
serait libre. Pauvre petite fille comme elle ce trompait! Elle fut prisonnière d’un homme brutal qui buvait la trompait avec des filles de mauvaise vie et lui rapportait des maladies honteuse. Heureusement qu’il ne lui fit pas d’enfant! Suite à une maladie qu’il attrapa lorsqu’il était plus jeune, il était devenu stérile. Mais cela la jeune femme ne le savait pas.
Anouchka se demandait encore pourquoi il avait voulu épouser une fillette? Pensait ‘il lui faire un héritier? Savait-il qu’il ne pouvait pas concevoir un enfant? Le temps passait la jeune femme n’avait toujours pas de bébé.
Les mis et les années passait Anouchka supportait en se disant qu’un jour elle allait fuir ce monstre, mais la peur la tenaille la menaçait, disant:
-je vais te tuer! Tu ne partiras jamais! Je t’enfermerais au couvent!
Mais un jour, Anouchka prit la décision de fuir. Elle fit sa valise pris tout l’argent quelle trouva.
Oh il n’y avait pas une fortune le vieux grigou ne lui donnant juste ce qu’il fallait pour faire les courses. Lorsqu’elle arriva à la gare elle prit le train pour paris. Le voyage fut long. Elle avait très peur des autres voyageurs, craignant que son époux ne la fasse rechercher parla police
mai non rien ne ce passa. Arrivée à la gare, elle poussa un soupir de soulagement. Enfin elle était libre. Malgré sa peur, elle allait tout faire pour être heureuse, faire tout ce qui lui avait était interdit. Elle trouva une petite chambre de bonne dans un petit hôtel pas trop chère, pour passé la nuit. Puis ce mit à chercher du travail. Elle savait coudre, broder, servir à table a la perfection, donc elle trouverait facilement du travail. Après une bonne nuit de repos elle sorti de l’hôtel pour trouvé un kiosque a journaux. Après avoir parcourut les petites annonces elle opta pour une offre qui semblé lui convenir, l’annonce
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disait cherche personne sérieuse pour garder deux enfants ménage
cuisine,logée,chambre indépendante
c’était ce qu’il lui fallait.
Elle ce précipita vers une cabine téléphonique dont elle ne connaissait pas le fonctionnement, mais après avoir lu les explications, elle introduisit sa pièce composa le numéro.
Après quelques sonneries une voix de femme se fit entendre.
Allô, bonjour madame, je vous appel au sujet de votre annonce passé dans le journal de ce matin! Concernant votre offre d’emploi...
Est-elle toujours disponible?
Oui bien sûr ! Voulez vous venir de-suite ?
Bien sur ! Comment me rendre chez vous ?
Ce n’est pas difficile. Prenez le métro !
Le métro ?
Oui et vous descendez à la station Magenta ! Vous verrez, ce n’est pas très loin.
J’arrive, merci madame.
Elle s’engagea dans la station de métro, un peu perdue … mais elle était débrouillarde et demanda comment se rendre à l’adresse indiquée à une dame âgée. La personne lui expliqua avec gentillesse et un sourire comment lire le plan. La jeune fille la remercia et sauta dans le wagon qui se présentait à elle. Quelques stations plus tard elle arriva à la station Magenta ou elle demanda de l’aide, cette fois pour se rendre à l’adresse. Elle fut surprise que les gens soient aussi aimables. Du village d’où elle venait, les habitants ne l’étaient pas !
Elle se présenta. Lors de l’entrevue la dame lui posa quelques questions mais resta discrète, comprenant que cette jeune femme avait des problèmes. Ce qui lui importait était que cette jeune femme soit bien élevée et sérieuse. Bien sûr, elle ne gagnerait pas beaucoup, mais elle serait nourrie et logée dans une petite chambre indépendante et serait libre de sortir après sa
journée de travail, à condition d’être rentrée avant minuit. L’immeuble était fermé à cette heure-là. Seuls les propriétaires avaient leurs clefs. Mais Anouchka était sage, elle allait se promener, marcher dans Paris, découvrir la ville. Elle se promenait jusque la nuit. Dès que l’heure de rentrer arrivait, elle retournait vers sa petite chambre le cœur en fête, le sourire aux lèvres. Elle était enfin heureuse. Le samedi et le dimanche, elle avait plus de temps. Ses employeurs étant à la maison, elle avait moins de travail à faire. C’est Madame qui faisait la cuisine et la jeune fille était nourrie. Elle mangeait à leur table, comme les enfants de la famille. Elle avait enfin trouvé un foyer dans lequel elle était heureuse de travailler. Aussi profitait-elle de ses moments de liberté, pour sortir et découvrir Paris. C’est ainsi qu’un jour, elle se retrouva à la butte Montmartre, le Sacré-Cœur, la place du Tertre, les peintres, les musiciens, les cafés. Alors le soir après son travail elle se
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dépêchait de retourner dans cet endroit qui la fascinait ! Elle allait, montant les marches, souple comme un cabri, et là elle admirait les peintres, puis la nuit venue, se mêlait aux jeunes gens, les filles chantaient et jouaient de la guitare, du tambourin et autres instruments. Elle adorait danser et chanter alors cette musique lui donnait envie de danser. Anouchka, de sa voix de soprano les accompagnait, virevoltant tel un papillon. Elle aurait voulu être chanteuse, danseuse, elle était attirée par tout ce qui se rapportait à l’art. Mais hélas, il ne fut pas question de faire une carrière dans ce milieu. Ses parent l’auraient bien laissée chez les bonne sœurs s’il n’avait fallu qu’ils payent et son mari ne supportait pas qu’elle puisse écrire, dessiner, alors maintenant qu’elle était libre, elle allait faire tout ce qu’on lui avait interdit ! Elle allait enfin pouvoir danser, chanter, écrire, que de projets elle avait ! Elle pensait s’inscrire dans un cours
pour améliorer sa technique de respiration, recommencé des exercices d’assouplissement étant certaine que dans peu de temps, elle serait une artiste. Après tout, elle était encore très jeune. Bien sûr, elle ne pourrait pas faire une carrière de danseuse, il était bien trop tard pour faire carrière à l’opéra mais elle ferait ce qu’elle avait toujours désiré. Elle deviendrait une artiste. Quoi qu’il lui en coûte, elle travaillerait pour cela et son vieux mari ne la retrouverait jamais. Elle priait Dieu qu’il lui épargne cette peine. Oui, elle était sûre de devenir ce qu’elle avait toujours voulu être, montrant ainsi à tout le monde qu’elle était capable de vivre sa vie et sa passion. Mais pour y parvenir, il ne fallait pas que son vieux mari la découvre, il lui faudrait donc être très prudente et très courageuse pour oublier les coups et les humiliations de son époux. Elle ne pouvait même pas supporter qu’un homme la touche du regard. Dès qu’un regard masculin ce posait sur elle elle ressentez la peur
Il était bien trop tard pour faire carrière à l’opéra mais elle ferait ce qu’elle avait toujours désiré. Elle deviendrait une artiste. Quoi qu’il lui en coûte, elle travaillerait pour cela et son vieux mari ne la retrouverait jamais. Elle priait Dieu qu’il lui épargne cette peine. Oui, elle était sûre de devenir ce qu’elle avait toujours voulu être, montrant ainsi à tout le monde qu’elle était capable de vivre sa vie et sa passion. Mais pour y parvenir, il ne fallait pas que son vieux mari la découvre, il lui faudrait donc être très prudente et très courageuse pour oublier les coups et les humiliations de son époux. Elle ne pouvait même pas supporter qu’un homme la touche du regard .
Alors qu'elle chanté elle sentie un regard se poser sur elle un jeune homme la regardé avec insistance son regard brûlant poser sur les épaules de la jeune femme rougi tout en sentant battre son cœur plus fort dans sa poitrine que lui arrive t-il ?
ANOUCHKA et le MARQUIS
Alors qu’elle n’est qu’une enfant, Anouchka va être marié pour de l’argent, avec un homme beaucoup plus âgé ? qu’elle ne connaît pas. Après plusieurs années passé avec son vieux marié qui la tient prisonnière, elle va fuir enfin d’être libre de vivre comme toutes les femmes de Son âge enfin d’essayé d’être heureuse…la jeune femme n’a jamais quitté sa campagne est elle est affolée par le bruit des voiture, mais elle est libre enfin!
Elle à eu le courage de fuir sa prison parent des réfugier russe, lui on imposé le mariage avec un homme riche et vieux.
Un homme qu’elle ne connaissait pas.
Elle n’avait pas eu le choix, le mariage ou le couvent. Malgré sus pleurs et ses supplications la jeune fille du accepter l’homme que ses parent lui imposaient.
Elle ne voulait pas retourné au couvent et préférait le mariage à cette prison chez les bonnes sœurs!
Elle pensait qu’en ce mariant elle
serait libre. Pauvre petite fille comme elle ce trompait! Elle fut prisonnière d’un homme brutal qui buvait la trompait avec des filles de mauvaise vie et lui rapportait des maladies honteuse. Heureusement qu’il ne lui fit pas d’enfant! Suite à une maladie qu’il attrapa lorsqu’il était plus jeune, il était devenu stérile. Mais cela la jeune femme ne le savait pas.
Anouchka se demandait encore pourquoi il avait voulu épouser une fillette? Pensait ‘il lui faire un héritier? Savait-il qu’il ne pouvait pas concevoir un enfant? Le temps passait la jeune femme n’avait toujours pas de bébé.
Les mis et les années passait Anouchka supportait en se disant qu’un jour elle allait fuir ce monstre, mais la peur la tenaille la menaçait, disant:
-je vais te tuer! Tu ne partiras jamais! Je t’enfermerais au couvent!
Mais un jour, Anouchka prit la décision de fuir. Elle fit sa valise pris tout l’argent quelle trouva.
Oh il n’y avait pas une fortune le vieux grigou ne lui donnant juste ce qu’il fallait pour faire les courses. Lorsqu’elle arriva à la gare elle prit le train pour paris. Le voyage fut long. Elle avait très peur des autres voyageurs, craignant que son époux ne la fasse rechercher parla police
mai non rien ne ce passa. Arrivée à la gare, elle poussa un soupir de soulagement. Enfin elle était libre. Malgré sa peur, elle allait tout faire pour être heureuse, faire tout ce qui lui avait était interdit. Elle trouva une petite chambre de bonne dans un petit hôtel pas trop chère, pour passé la nuit. Puis ce mit à chercher du travail. Elle savait coudre, broder, servir à table a la perfection, donc elle trouverait facilement du travail. Après une bonne nuit de repos elle sorti de l’hôtel pour trouvé un kiosque a journaux. Après avoir parcourut les petites annonces elle opta pour une offre qui semblé lui convenir, l’annonce
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disait cherche personne sérieuse pour garder deux enfants ménage
cuisine,logée,chambre indépendante
c’était ce qu’il lui fallait.
Elle ce précipita vers une cabine téléphonique dont elle ne connaissait pas le fonctionnement, mais après avoir lu les explications, elle introduisit sa pièce composa le numéro.
Après quelques sonneries une voix de femme se fit entendre.
Allô, bonjour madame, je vous appel au sujet de votre annonce passé dans le journal de ce matin! Concernant votre offre d’emploi...
Est-elle toujours disponible?
Oui bien sûr ! Voulez vous venir de-suite ?
Bien sur ! Comment me rendre chez vous ?
Ce n’est pas difficile. Prenez le métro !
Le métro ?
Oui et vous descendez à la station Magenta ! Vous verrez, ce n’est pas très loin.
J’arrive, merci madame.
Elle s’engagea dans la station de métro, un peu perdue … mais elle était débrouillarde et demanda comment se rendre à l’adresse indiquée à une dame âgée. La personne lui expliqua avec gentillesse et un sourire comment lire le plan. La jeune fille la remercia et sauta dans le wagon qui se présentait à elle. Quelques stations plus tard elle arriva à la station Magenta ou elle demanda de l’aide, cette fois pour se rendre à l’adresse. Elle fut surprise que les gens soient aussi aimables. Du village d’où elle venait, les habitants ne l’étaient pas !
Elle se présenta. Lors de l’entrevue la dame lui posa quelques questions mais resta discrète, comprenant que cette jeune femme avait des problèmes. Ce qui lui importait était que cette jeune femme soit bien élevée et sérieuse. Bien sûr, elle ne gagnerait pas beaucoup, mais elle serait nourrie et logée dans une petite chambre indépendante et serait libre de sortir après sa
journée de travail, à condition d’être rentrée avant minuit. L’immeuble était fermé à cette heure-là. Seuls les propriétaires avaient leurs clefs. Mais Anouchka était sage, elle allait se promener, marcher dans Paris, découvrir la ville. Elle se promenait jusque la nuit. Dès que l’heure de rentrer arrivait, elle retournait vers sa petite chambre le cœur en fête, le sourire aux lèvres. Elle était enfin heureuse. Le samedi et le dimanche, elle avait plus de temps. Ses employeurs étant à la maison, elle avait moins de travail à faire. C’est Madame qui faisait la cuisine et la jeune fille était nourrie. Elle mangeait à leur table, comme les enfants de la famille. Elle avait enfin trouvé un foyer dans lequel elle était heureuse de travailler. Aussi profitait-elle de ses moments de liberté, pour sortir et découvrir Paris. C’est ainsi qu’un jour, elle se retrouva à la butte Montmartre, le Sacré-Cœur, la place du Tertre, les peintres, les musiciens, les cafés. Alors le soir après son travail elle se
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dépêchait de retourner dans cet endroit qui la fascinait ! Elle allait, montant les marches, souple comme un cabri, et là elle admirait les peintres, puis la nuit venue, se mêlait aux jeunes gens, les filles chantaient et jouaient de la guitare, du tambourin et autres instruments. Elle adorait danser et chanter alors cette musique lui donnait envie de danser. Anouchka, de sa voix de soprano les accompagnait, virevoltant tel un papillon. Elle aurait voulu être chanteuse, danseuse, elle était attirée par tout ce qui se rapportait à l’art. Mais hélas, il ne fut pas question de faire une carrière dans ce milieu. Ses parent l’auraient bien laissée chez les bonne sœurs s’il n’avait fallu qu’ils payent et son mari ne supportait pas qu’elle puisse écrire, dessiner, alors maintenant qu’elle était libre, elle allait faire tout ce qu’on lui avait interdit ! Elle allait enfin pouvoir danser, chanter, écrire, que de projets elle avait ! Elle pensait s’inscrire dans un cours
pour améliorer sa technique de respiration, recommencé des exercices d’assouplissement étant certaine que dans peu de temps, elle serait une artiste. Après tout, elle était encore très jeune. Bien sûr, elle ne pourrait pas faire une carrière de danseuse, il était bien trop tard pour faire carrière à l’opéra mais elle ferait ce qu’elle avait toujours désiré. Elle deviendrait une artiste. Quoi qu’il lui en coûte, elle travaillerait pour cela et son vieux mari ne la retrouverait jamais. Elle priait Dieu qu’il lui épargne cette peine. Oui, elle était sûre de devenir ce qu’elle avait toujours voulu être, montrant ainsi à tout le monde qu’elle était capable de vivre sa vie et sa passion. Mais pour y parvenir, il ne fallait pas que son vieux mari la découvre, il lui faudrait donc être très prudente et très courageuse pour oublier les coups et les humiliations de son époux. Elle ne pouvait même pas supporter qu’un homme la touche du regard. Dès qu’un regard masculin ce posait sur elle elle ressentez la peur
Il était bien trop tard pour faire carrière à l’opéra mais elle ferait ce qu’elle avait toujours désiré. Elle deviendrait une artiste. Quoi qu’il lui en coûte, elle travaillerait pour cela et son vieux mari ne la retrouverait jamais. Elle priait Dieu qu’il lui épargne cette peine. Oui, elle était sûre de devenir ce qu’elle avait toujours voulu être, montrant ainsi à tout le monde qu’elle était capable de vivre sa vie et sa passion. Mais pour y parvenir, il ne fallait pas que son vieux mari la découvre, il lui faudrait donc être très prudente et très courageuse pour oublier les coups et les humiliations de son époux. Elle ne pouvait même pas supporter qu’un homme la touche du regard .
Alors qu'elle chanté elle sentie un regard se poser sur elle un jeune homme la regardé avec insistance son regard brûlant poser sur les épaules de la jeune femme rougi tout en sentant battre son cœur plus fort dans sa poitrine que lui arrive t-il ?
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bagnuls
19/08/2012 18:53
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cadaques espagne
19/08/2012 18:48
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